Un appartement et un amant...(PV Kanon)(WARNING!!!!!!)

Immortel

La réaction de Kanon devant la grande bâtisse fit plaisir à Ibiki qui l'enlaça doucement par la taille et qui posa son menton sur son épaule.

On rentre??

Ibiki ouvrît la grande porte battante qui donnait directement sur l'escalier. Il prit la main de Kanon et lui fit grimper les étages, jusqu'au dernier. Là, il fit tourner une grande clef dans une tout aussi impressionnante serrure et la porte grinça sur ses gonds. Laissant place à une vue des plus sombre. L'appartement se situait dans l'attique du bâtiment, ce qui octroyait au couple une intimité quasi totale, et surtout, une discrétion des plus notable. Ibiki pénétra dans l'appartement, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, illumina la pièce de quelques bougies bien placées, et d'une grande lucarne donnant sur le ciel nuageux. Il invita Kanon à entrer d'un grand sourire et s'assit dans un siège en cuir noir, laissant échapper un long soupir de ses lèvres. Il était relativement fatigué, maintenant qu'il avait retrouver son amour, le manque de sommeil se fit ressentir. Mais il n'avait pas le temps de se laisser aller. Il observa Kanon prendre ses marques. Le gamin était des plus fascinant, il semblait aux anges et son regard pétillait d'une lueur des plus attrayante. Le sourire aux lèvres, l'assassin se retenait de rire, la situation était vraiment comique et il se sentait tellement plus léger maintenant que Kanon était à ses côtés.

Invité

Le sentant dans son dos, il ne quitta pas le bâtiment du regard, encore sous l’émotion. Mon Dieu…tout ça pour lui… Il ne lui répondit, prenant ça pour un ordre. En regardant à l’intérieur, il s’étonna qu’il y est un escalier. Pourquoi un escalier ? Il n’y avait pas…non, fallait pas être trop exigeant maintenant. Mais dans la main, il vociféra intérieurement de monter autant de marches, lui qui n’en pouvait déjà plus pour venir de la place à devant l’appartement. Aussi, il resserra sa main sur celle d’Ibiki, s’y aidant pour grimper. Arrivé devant cette porte, toute son attention se retrouva portée sur elle. Il trouvait la serrure bien lourde pour une porte…pourquoi, ça, ça restera un mystère. Quand elle s’ouvrit sur elle-même…

Regardant à travers la pièce, ce n’était vraiment pas engageant. Sombre, la porte lugubre, à Kanon, ça lui donnait plus envie de tourner les talons, et de rentrer. Baissant le regard, l’endroit commencer à lui donner des frissons dans le dos, quand tout à coup…Wouaw, comme c’est beau ! Relevant la tête, il vit la pièce changeait du tout au tout. L’atmosphère froide et glaciale se volatilisa en une ambiance plus…intime, plus douce aussi. Sans compter la magnifique vue qu’ils avaient du haut de leur étage. Alors là, il en avait pour les yeux. Pénétrant à l’intérieur, il posait son regard sur tout, tout. L’appartement lui apparaissait comme très grand, sûrement parce que c’est la première fois qu’il y soit. Lentement, il prit tout son temps pour observer chaque nouvel objet, meuble, visitant la cuisine, et la salle de bain au passage. Tout était beau, tout était propre. Tantôt fasciné, tantôt intrigué, l’appartement avait l’air de lui réserver des surprises. N’osant pas allé plus loin que le salon, il se tourna ensuite vers Ibiki, confortablement installé dans un fauteuil. Lui souriant, il me rejoignit, s’accroupissant à ses pieds, mains posées sur ses genoux. Il n’avait pas l’air au plus haut de sa forme… Fronçant légèrement les sourcils, il lui adressa.

Ca va ? T'as l'air fatigué…

D’un coup, ça fit « biiiiiiiiip » dans sa tête, et son visage s’éclaira.

Ah mais ! C'est une bonne occas' pour aller visiter la chambre ! Ca te fera du bien

Il se releva, passant la main sur son front pendant qu’il était encore assit. Car quand il est debout, finit. Il le laissa passer devant, le suivant docilement.

Immortel

Ibiki se délectait de la petite silhouette qui se promenait dans le vaste appartement. Il souria lorsque passa sur le visage de Kanon, une expression d'émerveillement, heureux de l'effet que produisait leur nouveau logis, sur son amant. Il le regarda l'approcher et se laissa toucher le front. Saisissant délicatement la main sur son visage, il l'apporta à sa bouche afin d'y déposer un léger baiser avant de se lever. Il emmena Kanon dans la partie la plus reculée de l'appartement, et poussa une lourde porte avant de les faire entrer tous deux dans la vaste chambre. Meublée sobrement, un grand lit au milieu de la pièce, et une commode ornée d'un chandelier en argent. Un fauteuil en cuir noir devant la baie vitrée, et deux immenses portes encastrées dans le mur, laissant immaginer la grandeur de l'armoire.

Les murs sont épais, et je les ai fait insonoriser.

Ibiki regarda Kanon de son regard glacé, une lueur coquine au fond de celui-ci. Il serra un peu plus la main de l'adolescent dans la sienne et l'emmena au milieu de la pièce.

Elle te plait??

Sa voix suave résonna dans la grande pièce, et resta comme suspendue dans l'air. Ibiki passa derrière Kanon et l'enlaça tendrement avant de venir déposer quelques baisers le long de sa nuque. Son parfum si doux et sucré lui avait tant manqué, il caressait son petit ventre de ses grandes mains et soupirait dans son cou, son souffle allant caresser sa délicate peau.

Invité

Il sentit ses joues légèrement chaudes quand il lui baisa la main. Il a le secret pour lui faire tourner la tête celui-là. Il regarda les murs pendant leur traversée, quand ils arrivèrent dans la fameuse chambre. D’après ce qu’il pouvait voir de la pièce en dépit de la faible luminosité, il dû se faire à l’idée que son amant aime la simplicité. Aussi, il n’a pas tort, les maisons aux intérieurs toutes confinées par les fioritures de la décoration ne sont pas les plus agréables à y vivre. Il y avait juste l’armoire qui l’impressionnait un peu, mais peut-être avait-il pensé que Kanon y déposerait quelques affaires. Ce qui ne serait pas une si mauvaise idée en y réfléchissant. Mais ce qu’elle était grande, cette chambre…Kanon se demande même si elle ne sert pas que de chambre. Ecoutant Ibiki tout en finissant son observation, il ne put s’empêcher de le regarder avec une petite lueur d’envie en lui souriant malicieusement. Insonoriser…venant d’Ibiki, ça ne l’étonne pas.

Ce dernier l’emmena près du lit, et lui posa une question. Il voulut lui répondre, mais il se tut, ne le voyant plus devant lui. Il baissa les yeux, et regarda sur les côtés, ayant entr’aperçut des ombres. Tiens, qu’est-ce qu’il fabrique là derrière ? Il retint sa respiration quand il sentit ses paumes glacées caresser son ventre chaud. Il ne la relâcha que dans les baisers qu’il lui offrit, rejetant la tête en soupirant lorsqu’elles conquirent son cou. Avalant sa salive, il articula.

Oui…très…

Ne supportant plus ses mains branlantes, il chercha à sentir Ibiki au bout de ses doigts, touchant ses hanches sans faire attention. Il ajouta, enjoué.

T'es plus fatigué quand il faut s'occuper de moi…coquin, va

Il lui donna un petit coup de hanche sur le côté, le faisant un peu dégager de là. Quelle sangsue, mais pas désagréable n’empêche. Quand il sentit ses lèvres titiller un point sensible… S’esclaffant de rire, ses genoux cédèrent, étant retenus que par ses bras.

Non…non…pas ici…pas ici…pas ici… !

Immortel

La peau de Kanon semblait brûler les lèvres de l'assassin qui n'en pouvait plus d'attendre. Il sourit lorsque le petit se mit à se débattre dans ses bras. Doucement, il le souleva et l'apporta sur le lit où il le posa délicatement. S'allongeant tendrement à son côté, il caressa délicatement le petit torse de Kanon et fit descendre sa main vers sa jambe qu'il massa tendrement. Plongeant son regard dans celui, vairon, du jeune homme, il se pencha et alla embrasser les douces lèvres de Kanon. Faisant glisser sa langue chaude sur tout le pourtour de celles-ci, son souffle brûlant caressant la douce peau de son amant. Ibiki sentait son coeur s'emballer et frapper tout contre sa poitrine.

Le temps tournait à l'orage à l'extérieur, le froid glaciale laissait place à une brume épaisse et un vent violent. Ibiki fit glisser un doigt le long de la rangée de bouton du haut de Kanon, et les fit sauter un à un. Le bruit des tissus que l'on froisse s'éleva dans la pièce. Et une douce chaleur les enveloppa doucement, caressant leurs deux corps allongés, animant la lueur d'amour et de désir mélangé, dans les yeux glacés de l'assassin.

Ibiki descendît ses baisers le long de la machoire de Kanon et s'attaqua ardemment à son cou, qu'il couvrît de multiples suçons et baisers en tout genre.

Je t'aime Kanon, je t'aime mon amour. Je ne veux que toi, à jamais.

Sa voix suave et embrasée par le feu de l'amour résonnait aux oreilles de l'adolescent.

Invité

Argh, il a fallu qu’il trouve L’endroit sensible, le titiller, explosant de rire. Kanon n’est pas une personne particulièrement chatouilleuse, mais comme tout le monde il a ses exceptions. Il souffla fort lorsque ça cessa, reprenant sa respiration. Se retrouvant sur les draps du lit, et entouré que par l’obscurité de la pièce, il n’eut d’yeux que sur Ibiki, dont le visage était auréolé d’une autre lumière que celle des bougies plus loin dans la pièce. Il se laissa caresser, appréciant ses douceurs, se calant définitivement contre lui. Il remonta sa jambe massée contre celle de son amant, la frottant légèrement. Son cœur cognait fort, emprisonné entre os et chair. A son baiser, il s’empressa d’entourer le cou robuste de l’assassin de ses bras, le tenant avec force. Le coquin le faisait le narguait, se gardant le plaisir de laisser des traces de leur baiser même sur ses lèvres. Il se sentait animé par ses gestes, son souffle, tout de lui.

Il le fascine, ses yeux l’hypnotisent. Pourquoi ? Pourquoi lui ? Pourquoi un adulte ? Qu’est-ce qu’Ibiki utilise pour le manipuler de la sorte ? Manipuler…pas vraiment, jusqu’ici il lui a laissé pas mal de libertés. Kanon se posait encore des questions concernant sa relation avec l’immortel, mais au point où ils en sont, ce n’est plus la peine de se torturer l’esprit. Ce qui est fait est fait, ils ont couchés ensemble, rien ne sera changé, et ils sont bien parti pour une autre nuit…une nuit qui sera sûrement plus longue que la première. Et il le voulait, ils le voulaient. Incroyable comment la luxure arrive à faire détourner quelqu’un de ses convictions, si longtemps bâties soient-elles. Torse à demi-nu, il se complaisait dans ses bras, choyé, noyé de douceurs jusqu’au cou, de légers gémissements s’échappaient de sa bouche entre des soupirs continus. Puis des mots, des mots d’une tonalité étrange se répercutèrent en écho entre ses tympans, le paralysant de stupeur. Amour…amour…non, il doit se tromper…ce ne devait pas être de lui dont il parle… Nerveux, il douta…et si lui aussi…non, ça ne pouvait pas être possible…

Ahah…si tu le dis…

Sa voix se voulait naturel, cool, mais elle s’en ressortait plus que tendue. Il essaya de se détendre, de se remettre dans l'ambiance, se disant qu’Ibiki plaisantait…les adultes ont un sens fort de l’humour, alors rions…rions...

Immortel

La réaction du gamin était des plus naturelle. Après tout, il détestait les adultes il n'y a pas encore un mois...Alors coucher et aimer l'un d'entre eux. Cela devait être plus que perturbant. Ibiki ne s'était pas attendu à une réponse, de toute façon, aussi se contenta-t-il de sourire et de descendre ses baisers le long du torse du gamin. Puis déboutonnant son pantalon, il découvrit son membre déjà bien dressé, et se mit à l'embrasser, le lécher, le suçoter sur toute la longueur. La peau si douce, et si particulière de Kanon le faisait frissonner de partout. Ne se retenant pas de le sucer avidement, il caressait de son autre main le torse de son petit amant. Les gémissements de ce derniers résonnaient dans la pièce, tout autant que dans la tête de l'immortel. Tant de douceur, tant de volupté, ils résonnaient aux oreilles de l'assassin comme une douce mélodie enchanteresse.

Hum...Kanon....

Son corps en demandait encore plus, et il ne savait pas s'il arriverait seulement à se retenir le temps de préparer le gamin. Il ne tenait aucunement à le brusquer, ni même à le blesser, aussi se retiendrait il. Mais son désir était tel qu'il le brûlait de l'intérieur. Ses muslces se bandaient au fur et à mesure que le membre de Kanon gonflait. Le sentant près à venir, il se retînt de l'amener jusqu'au bout et se redressa, frottant son entre jambe contre celle de Kanon. Souriant, il se remit à caresser ce petit corps si désirable, et passa ses mains le long de ses cotes, puis de ses hanches, redessinant le galbes de ses fesses.

Immortel

FERME

» Kanon Doyle